20 Mai Les olympiades 2024, spécialité Sciences de l’ingénieur à Louis Querbes
Deux équipes du lycée Louis Querbes de Rodez ont participé à la finale académique des olympiades spécialité sciences de l’ingénieur à Toulouse. Les olympiades des Sciences de l’Ingénieur permettent aux élèves de travailler en équipe autour de projets pluri-technologiques.
L’équipe « CoachBot » a remporté le prix de la mobilité.
L’équipe » TouT’auto » a été sélectionnés pour la finale nationale à Paris le 23 mai dernier sur le site de l’école d’ingénieurs CentraleSupélec – Université Paris-Saclay
Ainsi, les meilleurs lycéennes et lycéens de France, des filières Générale Spécialité SI et Technologique STI2D, pourront présenter leur projet aux membres du jury.
Les élèves présents accompagnés de deux professeurs ont pu rivaliser avec plus de 800 équipes.
1) Nom du projet : CoachBot (prix de la mobilité.)
Problématique : Comment se mettre à l’activité physique et maintenir un effort sur le long terme?
CoachBot est un robot qui a pour but l’amélioration des performances sportives de tous. Il propose au sportif des programmes de course différents qui correspondent à son niveau. Dès sa mise en marche sur une piste, le sportif n’a plus qu’à le suivre et garder le rythme sans se soucier de sa vitesse. Il permet de se remettre au sport en toute sécurité grâce à ses nombreuses fonctionnalités, comme la détection d’obstacles ou l’arrêt par télécommande. CoachBot est un robot autonome qui réussit à repérer des obstacles, il possède néanmoins une télécommande si le sportif doit s’arrêter.
2) Nom du projet : » TouT’auto » (Finale nationale)
Problématique du projet : TouT’Auto est une jardinière automatique innovante conçue pour simplifier la culture des plantes. Dotée de fonctionnalités intelligentes, elle offre un système d’irrigation automatisé et personnalisé, adapté aux besoins spécifiques de chaque plante, grâce à des capteurs d’humidité du sol et des systèmes de contrôle automatisés. Les utilisateurs peuvent surveiller et contrôler leur plante à distance. Cette innovation, issue d’une collaboration allant des sciences de l’ingénieur, physique et mathématique, vise à rendre la culture végétale plus accessible, durable, même dans les environnements urbains les plus contraignants.
